FAQ

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Comment rendre son bien immobilier photogénique ?

Avant même de se demander quel appareil photo utiliser, il faut que le bien soit mis en valeur.

Rangez tous les effets personnels qui pourraient apparaître sur la photo. Les magnets sur le frigo ou les photos de famille au mur en sont des exemples. L'objectif n'est pas que le bien soit dénué de toute décoration, mais plutôt que celle-ci soit moins personnalisée, plus sobre. Ainsi, les personnes consultant les annonces immobilières peuvent se projeter dans le bien comme si elles en étaient déjà les propriétaires. Le concept du Home Staging repose sur ces principes de dépersonnalisation du logement. Cela permet d'accélérer la vente et dans certains cas, en augmente le prix net vendeur.

En montrer trop ou pas assez : trouvez le juste milieu

Le nombre de photos idéal pour une annonce va dépendre de la surface de votre bien. Si l'annonce ne présente qu'une ou deux photos, il est fort probable que les internautes soient frustrés. Pire encore, ils risquent de penser que le reste du bien est sans intérêt et passeront à l'annonce suivante. À l'inverse, une sur-abondance de photos est également à éviter.

Une annonce immobilière réussie doit présenter une à trois photographies d'une même pièce, selon sa taille. Pour une pièce entre 20 et 30 m², une seule photo suffira. Lorsque la pièce est de taille supérieure ou que la cuisine est ouverte sur le séjour, plusieurs prises de vue seront nécessaires. Gardez à l'esprit que chaque photo doit apporter quelque chose de différent à l'annonce, évitez donc le cliché pris à quelques centimètres du précédent.

Enfin, il sera très important de choisir avec soin la photo principale de l'annonce. En effet, c'est elle qui démarquera votre annonce des centaines d'autres qui défilent sous les yeux des internautes.

Réglementation drone : la sécurité avant tout.

Avant toute mission effectuée à des fins professionnelles (de même que dans un cadre de loisir) l'utilisation de drones est soumise à une réglementation stricte. Cependant, seul un télépilote de drone professionnel enregistré à la DGAC peut commercialiser ses prestations auprès d'une entreprise.

C'est pourquoi chaque vol doit être minutieusement préparé et anticipé. En effet, pour pouvoir travailler avec des drones en toute légalité et en toute sécurité l'exploitant et le télépilote de drone doivent détenir toutes les autorisations et certificats délivrés par la DGAC (Direction Générale de l’Aviation Civile).

Plusieurs scénarios de vol existent selon si nous opérons en zone rurale ou en agglomération. Pour une mission en agglomération (scénario S-3), il est impératif d’obtenir au minimum une autorisation préfectorale et de déployer des zones de sécurité, afin d’assurer la sécurité des tiers au sol.

La sécurité a un coût et par conséquent, une prestation en zone rurale sera moins onéreuse qu’en ville.

En outre, un tournage peut être reporté à cause de mauvaises conditions météorologiques ou autres imprévus ; ce genre de contingences entraîne une perte de temps et donc d’argent.

Produire un programme audiovisuel, que ce soit à l’aide de moyens aériens ou au sol, requiert une importante réflexion en amont pour répondre le mieux possible aux besoins du client. Charlie Motion ne réalise jamais de vidéo sans avoir bien cerné votre demande. Cette phase de préparation chronophage n’est jamais négligée et elle doit nécessairement être prise en considération lors de l’élaboration d’un devis.

Lors du tournage, nous ne prenons pas les vidéos de façon hasardeuse et nous pensons constamment de façon artistique. Tout est réfléchi pour que le résultat final corresponde parfaitement à vos attentes.

Pour y parvenir, un travail préparatoire est parfois de mise : hormis les autorisations préfectorales, nous devons rédiger un story-board ou un synopsis. Cela passe parfois par une phase de repérage des lieux, indispensable pour mener à bien la mission.

Une fois la mission effectuée, notre travail se s’arrête pas là car une phase de post-production est en général primordiale.

Selon la complexité de la demande et la nature du projet, cette phase peut être plus ou moins longue et fastidieuse (dérushage pour sélectionner les meilleurs plans, montage, retouche des photographies, choix d’une musique, habillage graphique, étalonnage colorimétrique, mixage du son, etc…) et c’est une des raisons pour lesquelles il est compliqué de chiffrer ce genre de prestations sans connaître les spécificités dudit projet.

Le but de cette démarche est de vous remettre des livrables de qualité professionnelle directement exploitables.

Cela étant dit, cette étape n’est pas indispensable et nous sommes également en mesure de vous remettre les livrables sans post-traitement.

Nos rushs et images étant bruts et volumineux, il est essentiel de posséder des outils de production puissants et rapides, sans quoi l’étape de post-production virera au calvaire.

Un problème ? La responsabilité du client peut être engagée.

Si vous êtes une entreprise, retenez une chose : en passant commande pour une mission aérienne par drone, le client (vous) engage lui aussi sa responsabilité. Cela implique qu'en cas de problème, des comptes seront demandés au télépilote de drone mais également à l'entreprise qui l'a missionné.

Travailler avec un pilote drone non déclaré est un argument qui peut se comprendre. Mais prendre de réels risques pour économiser quelques euros peut coûter cher. Renseignez-vous avant de passer commande avec un prestataire non titulaire des autorisations/certifications requises.

Un télépilote de drone peut-il revendiquer d'être agréé par la DGAC ? La réponse est NON.

En effet, vous trouverez nombre de prestataires qui abusent du logo et indiquent être agréés par cette dernière ou encore certifiés. Toute référence à un quelconque agrément ou autre certification par la DGAC est donc mensongère.

La société Charlie Motion est certifiée pour pouvoir utiliser des drones professionnels en catégorie S1 - S2 - S3. Toutes les démarches administratives, de sécurisation et d’assurance sont inclues dans nos prestations drone.